Plante star des intérieurs modernes et des amateurs de verdure, l’Epipremnum aureum, affectueusement surnommé Lierre du diable ou Pothos, est bien plus qu’une simple touche de nature. C’est une véritable déclaration de style, une cascade de feuilles en forme de cœur qui apporte vie et dynamisme à n’importe quel espace. Sa réputation de plante quasi indestructible en fait le compagnon idéal pour les novices en jardinage, mais sa beauté luxuriante séduit aussi les collectionneurs les plus avertis. Vigoureux, adaptable et d’une résilience à toute épreuve, il transforme les intérieurs en jungles urbaines sans demander d’efforts surhumains.
Loin d’être une simple plante d’ornement, le lierre du diable est un allié bien-être. Ses feuilles ne se contentent pas d’être belles ; elles travaillent en silence pour purifier l’air que nous respirons. Facile à multiplier, il permet de verdir son logis à l’infini, offrant des possibilités décoratives sans cesse renouvelées. Qu’il grimpe sur un tuteur, dévale une étagère ou sublime une suspension, le Pothos sait comment capter la lumière et attirer les regards. Ce guide complet explore tous les secrets pour cultiver et chérir cette merveilleuse plante grimpante, une indispensable pour quiconque souhaite inviter la nature chez soi avec panache et simplicité.
Révéler la splendeur du lierre du diable : origines et atouts décoratifs
L’Epipremnum aureum, plus connu sous le nom évocateur de Lierre du diable, est une force de la nature condensée dans une plante d’intérieur. Originaire des îles Salomon, cette liane tropicale appartient à la famille des Aracées. Dans son habitat naturel, elle s’élance avec vigueur à l’assaut des arbres, s’y accrochant grâce à ses racines aériennes pour atteindre des longueurs vertigineuses de plus de 20 mètres. C’est cette ténacité et cette croissance rapide, presque indomptable, qui lui ont valu son surnom. Mais que l’on se rassure : en intérieur, sa fougue se maîtrise aisément et devient un formidable atout créatif. En tant que l’une des plantes grimpantes les plus prisées, elle offre une polyvalence décorative exceptionnelle. On peut la laisser retomber gracieusement depuis une étagère haute ou l’installer dans une suspension pour créer un rideau de verdure. Alternativement, guidée par des accessoires de jardinage comme un tuteur en mousse ou un treillage mural, elle peut habiller un pan de mur et transformer une pièce. Son feuillage lustré, souvent panaché de jaune, de crème ou de blanc, apporte une touche de lumière et de sophistication.
La popularité de cette plante ne repose pas uniquement sur son esthétique. C’est sa simplicité d’entretien de plantes qui en fait une star. Elle pardonne les oublis d’arrosage et s’acclimate à des conditions de luminosité variées, ce qui la rend parfaite pour les débutants ou les personnes à l’agenda chargé. Cette résilience est un véritable cadeau pour quiconque souhaite verdir son intérieur sans stress. Le lierre du diable est une toile vivante sur laquelle on peut exprimer sa créativité. Ses longues tiges flexibles peuvent être guidées pour encadrer une fenêtre, courir le long d’une poutre ou même décorer une bibliothèque, créant ainsi des points focaux dynamiques et naturels. Pour ceux qui se demandent comment décorer une cage d’escalier, imaginer une cascade de lierre du diable le long de la rampe est une solution spectaculaire et pleine de vie. C’est une plante qui grandit avec nous et s’adapte à nos envies déco, une véritable partenaire pour un intérieur vibrant et personnalisé.
- Nom botanique : Epipremnum aureum
- Noms communs : Lierre du diable, Pothos, Scindapsus doré
- Origine : Îles Salomon, Asie du Sud-Est
- Type de plante : Liane tropicale, plante grimpante ou retombante
- Toxicité : Contient un latex irritant pour la peau et toxique en cas d’ingestion pour les animaux et les humains.
Caractéristique | Dans son habitat naturel | En culture d’intérieur |
---|---|---|
Taille | Jusqu’à 20 mètres de long | Généralement 1 à 3 mètres, facilement contrôlable par la taille |
Feuilles | Grandes, parfois découpées à maturité | Plus petites, en forme de cœur, généralement pleines |
Port | Grimpant, s’accroche aux arbres | Retombant (en suspension) ou grimpant (avec tuteur) |
Floraison | Rare, sous forme de spathe | Extrêmement rare, voire inexistante |

Les secrets d’un lierre du diable épanoui : lumière, arrosage et substrat
Pour que le Lierre du diable révèle tout son potentiel, il suffit de comprendre ses besoins fondamentaux, qui sont heureusement très simples. La clé du succès réside dans un équilibre entre lumière, eau et sol. Commençons par la lumière : le Pothos est un champion de l’adaptation. Il tolère une faible luminosité, ce qui en fait un excellent choix pour les coins moins ensoleillés d’un appartement. Cependant, pour obtenir un feuillage dense et des panachures éclatantes, il est préférable de lui offrir une lumière vive mais indirecte. Une fenêtre orientée à l’Est ou à l’Ouest est souvent idéale. Une exposition directe au soleil, surtout l’après-midi, risque de brûler ses feuilles délicates, tandis qu’un manque criant de lumière peut faire pâlir ses couleurs et étioler ses tiges. Observez votre plante : si les panachures jaunes ou blanches de votre variété ‘Golden’ ou ‘Marble Queen’ commencent à verdir, c’est le signe qu’elle a besoin de plus de lumière.
L’arrosage est sans doute le point le plus critique dans les soins des plantes d’intérieur, et le Pothos ne fait pas exception. Le piège principal est l’excès d’eau, qui conduit inévitablement à la pourriture des racines. La règle d’or est simple : laissez sécher le tiers supérieur du sol entre deux arrosages. Pour vérifier, enfoncez simplement votre doigt dans la terre. Si elle est sèche sur 3-4 centimètres, il est temps d’arroser généreusement, jusqu’à ce que l’eau s’écoule par les trous de drainage du pot. Videz ensuite la soucoupe pour que les racines ne baignent pas dans l’eau stagnante. En hiver, lorsque la croissance ralentit, espacez davantage les arrosages. Originaire des forêts tropicales, le Pothos apprécie une bonne humidité ambiante. Vous pouvez le vaporiser régulièrement, le placer sur un plateau de billes d’argile humides ou le grouper avec d’autres plantes d’intérieur pour créer un microclimat favorable. C’est une excellente plante pour une salle de bain lumineuse, où elle profitera naturellement de la vapeur des douches.
Enfin, le substrat joue un rôle crucial. Le lierre du diable a besoin d’un sol riche et bien drainant. Un mélange de terreau pour plantes d’intérieur de bonne qualité, amendé avec de la perlite ou de la pouzzolane, est parfait pour assurer une bonne aération des racines et éviter que le sol ne se compacte. Pendant la période de croissance, du printemps à l’automne, un apport d’engrais liquide équilibré, dilué de moitié et administré une fois par mois, soutiendra sa croissance vigoureuse. Un bon entretien de plantes passe aussi par le rempotage, à effectuer tous les deux ou trois ans, ou lorsque vous voyez les racines sortir du pot. C’est l’occasion de renouveler le substrat et d’offrir plus d’espace à votre plante pour qu’elle continue de prospérer. Ces conseils jardinage sont la garantie d’une plante saine, luxuriante et heureuse.
- Lumière : Vive et indirecte pour des couleurs optimales, mais tolère une faible luminosité.
- Arrosage : Laisser sécher le substrat en surface avant d’arroser abondamment.
- Humidité : Apprécie une atmosphère humide ; vaporiser ou placer près d’un humidificateur.
- Sol : Mélange drainant de terreau et de perlite.
- Engrais : Apport mensuel d’un engrais équilibré dilué pendant la saison de croissance.
Saison | Arrosage | Luminosité | Fertilisation |
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Printemps / Été | Fréquent (quand le sol est sec sur 3-4 cm) | Vive et indirecte, protéger du soleil direct | Une fois par mois (engrais dilué) |
Automne / Hiver | Modéré (laisser le sol sécher plus en profondeur) | Maximiser l’exposition à la lumière indirecte | Stopper ou réduire à une fois tous les deux mois |
Multiplier sa jungle urbaine : taille et propagation du Pothos
L’un des aspects les plus gratifiants de la culture des lierres comme le Pothos est sa facilité déconcertante à être multiplié. La propagation est un jeu d’enfant et une manière fantastique d’agrandir sa collection, de créer des cadeaux personnalisés ou de donner une seconde vie aux tiges coupées lors de la taille. La taille, justement, est essentielle pour maîtriser la croissance de cette liane exubérante. Sans intervention, le lierre du diable produit de longues tiges qui peuvent se dégarnir à la base. Pour encourager un port plus touffu et compact, il suffit de pincer ou de couper les extrémités des tiges juste après un nœud (le petit renflement d’où partent les feuilles et les racines aériennes). Cette action simple stimule la plante à produire de nouvelles ramifications, la rendant ainsi plus dense et plus fournie. N’ayez pas peur de tailler : le Pothos est incroyablement résilient et répondra par une croissance renouvelée. Le printemps est la meilleure période pour une taille plus franche, qui coïncide avec le début de sa période de croissance active.
Les sections de tiges que vous retirez sont de précieuses boutures en devenir. La méthode la plus simple et la plus visuelle est le bouturage dans l’eau. Il suffit de couper une section de tige de 10 à 15 cm, en s’assurant qu’elle comporte au moins deux ou trois feuilles et plusieurs nœuds. Retirez la feuille la plus basse pour éviter qu’elle ne trempe et ne pourrisse, puis placez la bouture dans un verre ou un vase d’eau. Les nœuds doivent être immergés, car c’est de là que les nouvelles racines émergeront. Placez le récipient dans un endroit lumineux, sans soleil direct, et changez l’eau une fois par semaine pour qu’elle reste claire et oxygénée. En quelques semaines, vous verrez apparaître de fines racines blanches. Une fois qu’elles atteignent 3 à 5 cm, votre nouvelle plante est prête à être transférée dans un pot avec un terreau léger. C’est une expérience magique à observer, parfaite pour initier les enfants au jardinage. Pour un décor original, vous pouvez même exposer vos boutures dans de jolis soliflores sur une étagère, comme expliqué dans ces idées créatives pour décorer une bibliothèque.
Lors de la manipulation, souvenez-vous que le Pothos appartient à la famille des Aracées. Sa sève contient des cristaux d’oxalate de calcium qui peuvent être irritants. Il est donc conseillé de porter des gants, surtout si vous avez la peau sensible. Cette petite précaution mise à part, le processus est sans risque et incroyablement satisfaisant. La propagation est une excellente façon de donner du corps à une plante mère un peu clairsemée en replantant les nouvelles boutures à son pied. C’est un cycle vertueux qui fait du Pothos une des plantes d’ornement les plus généreuses et économiques. Chaque coupe est une promesse de nouvelle vie, une façon simple et durable de verdir chaque recoin de son intérieur.
- Sélectionner et couper : Choisissez une tige saine et coupez un segment de 10-15 cm juste en dessous d’un nœud. Assurez-vous d’avoir 2-3 feuilles.
- Préparer la bouture : Retirez la feuille la plus basse pour éviter qu’elle ne trempe dans l’eau.
- Placer dans l’eau : Mettez la bouture dans un récipient d’eau, en veillant à ce qu’au moins un nœud soit submergé.
- Attendre les racines : Placez à la lumière indirecte et changez l’eau chaque semaine. Les racines apparaîtront en 2 à 4 semaines.
- Transplanter : Lorsque les racines mesurent quelques centimètres, plantez la bouture dans un pot avec du terreau drainant.
Méthode de propagation | Avantages | Inconvénients | Conseils |
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Bouturage dans l’eau | Facile à observer, taux de réussite élevé, très visuel et décoratif. | Les racines peuvent avoir une petite phase d’adaptation lors du passage en terre. | Utiliser un récipient transparent pour surveiller les racines. Changer l’eau régulièrement. |
Bouturage en terre | Pas de choc de transplantation, les racines sont directement adaptées au substrat. | Plus difficile de surveiller l’enracinement, demande un contrôle de l’humidité plus précis. | Maintenir le terreau légèrement humide mais pas détrempé. On peut couvrir le pot d’un plastique pour créer un effet de serre. |

Les multiples visages du Pothos et comment surmonter les petits tracas
L’un des grands plaisirs de la culture des lierres est de découvrir que le « Lierre du diable » n’est pas une plante unique, mais une famille aux multiples variations, chacune avec son propre charme. Se lancer dans la collection de Pothos, c’est un peu comme commencer une collection d’œuvres d’art vivantes. La variété la plus commune est le Pothos ‘Golden’ (Epipremnum aureum), reconnaissable à ses feuilles vertes brillantes éclaboussées de jaune d’or. Il y a aussi le magnifique ‘Marble Queen’, dont les feuilles sont généreusement marbrées de blanc crème, lui donnant un aspect presque givré. Pour un effet plus graphique, le ‘Neon’ arbore des feuilles d’un vert chartreuse électrique qui illuminent instantanément n’importe quel espace sombre. Le ‘Pothos N’Joy’ ou le ‘Pearls and Jade’ sont des variétés plus compactes avec des panachures blanches très nettes et définies, tandis que le ‘Scindapsus pictus’ (souvent appelé Pothos satiné) séduit avec ses feuilles veloutées vert foncé tachetées d’argent. Toutes ces plantes d’ornement partagent les mêmes besoins de base, mais leurs couleurs peuvent varier en intensité selon la lumière reçue, offrant un spectacle sans cesse renouvelé. Cette diversité permet de jouer avec les textures et les couleurs pour créer un intérieur unique, en harmonie avec les tendances déco du salon pour 2025.
Même si le lierre du diable est réputé pour sa robustesse, il n’est pas totalement à l’abri des petits soucis. Heureusement, la plante communique très bien ses besoins, et les problèmes sont souvent faciles à diagnostiquer et à résoudre. Le symptôme le plus courant est le jaunissement des feuilles. Si une ou deux vieilles feuilles à la base jaunissent et tombent, c’est un processus naturel. En revanche, si plusieurs feuilles jaunissent subitement, c’est souvent le signe d’un arrosage excessif. Vérifiez l’humidité du sol et laissez-le bien sécher avant le prochain arrosage. À l’inverse, des feuilles qui flétrissent, s’enroulent et dont les bords brunissent indiquent un manque d’eau. Un autre problème peut être une infestation de nuisibles. Les cochenilles (petits amas cotonneux), les pucerons ou les araignées rouges peuvent s’installer, surtout si l’air est trop sec. Inspectez régulièrement le dessous des feuilles. En cas d’infestation, isolez la plante et traitez-la en nettoyant les feuilles avec un chiffon imbibé d’eau savonneuse (savon noir) ou en utilisant un insecticide naturel adapté aux plantes d’intérieur.
La clé des soins des plantes réussis est l’observation. Prenez le temps de regarder votre Pothos. Des tiges longues avec des feuilles très espacées ? Il cherche la lumière. Des feuilles qui perdent leurs panachures ? Il en manque. En répondant à ces signaux, vous établirez une véritable connexion avec votre plante. C’est cette attention qui fait toute la différence entre une plante qui survit et une plante qui s’épanouit, devenant une pièce maîtresse de votre décoration.
- Pothos ‘Golden’ : Le classique, feuilles vertes tachetées de jaune.
- Pothos ‘Marble Queen’ : Feuillage majoritairement crème, marbré de vert. Demande plus de lumière.
- Pothos ‘Neon’ : Feuilles d’un vert-jaune fluorescent très vif.
- Pothos ‘N’Joy’ : Feuilles plus petites, vert et blanc bien délimités. Croissance compacte.
- Scindapsus Pictus ‘Argyraeus’ : Souvent appelé Pothos satiné, feuilles vert foncé mat avec des taches argentées.
Symptôme | Cause probable | Solution |
---|---|---|
Feuilles jaunes | Arrosage excessif | Laisser le sol sécher complètement. Espacer les arrosages. Vérifier le drainage du pot. |
Feuilles molles et tombantes | Manque d’eau | Arroser abondamment la plante et laisser l’eau s’écouler. |
Bords des feuilles bruns et secs | Air trop sec ou manque d’eau | Augmenter l’humidité ambiante (vaporisation, humidificateur) et vérifier l’arrosage. |
Perte des panachures (feuilles devenant vertes) | Manque de lumière | Déplacer la plante vers un endroit plus lumineux (lumière indirecte). |
Taches brunes sur les feuilles | Brûlure due au soleil direct | Éloigner la plante d’une exposition directe au soleil. |

Les bienfaits cachés du lierre du diable : un air plus pur et une énergie positive
Au-delà de son indéniable attrait esthétique, le Lierre du diable est un véritable super-héros discret qui œuvre pour notre bien-être. Sa plus grande qualité cachée est sa capacité à purifier l’air intérieur. Dans les années 1980, une célèbre étude de la NASA (la Clean Air Study) a mis en lumière la capacité de certaines plantes d’intérieur à filtrer les composés organiques volatils (COV) présents dans nos maisons et nos bureaux. Le Pothos s’est révélé être l’un des champions de cette dépollution silencieuse. Il absorbe efficacement plusieurs toxines courantes, contribuant à créer un environnement plus sain. C’est un atout majeur, surtout quand on sait que nos intérieurs peuvent être plus pollués que l’air extérieur. Pour ceux qui cherchent à assainir leur maison, au-delà des solutions comme les lampes purifiantes, savoir si une lampe Berger est toxique ou non est une question pertinente, et l’ajout de plantes dépolluantes comme le lierre du diable est une réponse naturelle et complémentaire.
Parmi les polluants que le Pothos combat, on trouve le formaldéhyde. Cette substance est émise par les matériaux de construction, les meubles en aggloméré, les peintures, les colles et même certains produits d’entretien. Il est également capable de filtrer le benzène, présent dans les détergents, les plastiques, la fumée de cigarette et les gaz d’échappement qui s’infiltrent de l’extérieur. Enfin, il s’attaque aussi au xylène et au toluène, que l’on retrouve dans les vernis, les peintures et les marqueurs. Une exposition prolongée à ces composés peut provoquer maux de tête, irritations et autres problèmes de santé à long terme. Placer un ou plusieurs lierres du diable dans les pièces de vie, le bureau ou même une chambre au charme romantique, c’est donc poser un geste concret pour améliorer la qualité de l’air que l’on respire chaque jour. C’est une démarche de jardinage qui allie l’utile à l’agréable, la santé à la décoration.
Mais les bienfaits du lierre du diable ne s’arrêtent pas à la biochimie. Selon les principes du Feng Shui, cette plante est également porteuse d’une énergie positive. Sa croissance vigoureuse symbolise l’expansion et la vitalité. On dit qu’elle aide à éliminer les énergies stagnantes et à purifier les espaces non seulement des toxines physiques, mais aussi des tensions. Ses feuilles en forme de cœur sont associées à la douceur et à l’harmonie. Placer un Pothos dans un coin « mort » ou une zone de passage peut aider à fluidifier la circulation du « Chi » (l’énergie vitale). Qu’on adhère ou non à ces principes, il est indéniable que la présence de verdure a un effet apaisant sur le moral. S’occuper d’une plante, la voir grandir et prospérer grâce à ses soins, est une source de satisfaction et de connexion à la nature qui aide à réduire le stress et à améliorer la concentration. Le lierre du diable, par sa simplicité et sa générosité, est un compagnon idéal pour cultiver un intérieur à la fois beau, sain et serein.
- Benzène : Trouvé dans les plastiques, résines, détergents, fumée de cigarette.
- Formaldéhyde : Présent dans les sacs en papier, papiers cirés, serviettes en papier, panneaux de particules, tissus synthétiques.
- Xylène et Toluène : Émis par les peintures, vernis, produits d’imprimerie, cuir et caoutchouc.
- Monoxyde de carbone : Peut être filtré en partie par la plante.
Bienfait | Description | Comment en profiter |
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Purification de l’air | Absorbe les COV (formaldéhyde, benzène, xylène) et améliore la qualité de l’air intérieur. | Placer plusieurs Pothos dans les différentes pièces de la maison, notamment le salon et la chambre. |
Bien-être psychologique | La présence de verdure réduit le stress, améliore l’humeur et la concentration. | Intégrer la plante dans son champ de vision au quotidien, sur un bureau ou une étagère. |
Énergie positive (Feng Shui) | Active les énergies stagnantes, symbolise la croissance et la vitalité. | Placer la plante dans les coins ou les zones de faible énergie pour revitaliser l’espace. |
Facilité d’entretien | Le soin de la plante est une activité relaxante et gratifiante, accessible à tous. | Prendre quelques minutes chaque semaine pour vérifier ses besoins et apprécier sa croissance. |